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De la plume à la baguette (et vice versa)

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Depuis Mozart et Beethoven jusqu’à Mahler, rares sont les compositeurs à ne s’être pas frottés à la direction d’orchestre – au moins pour la création de leurs propres oeuvres. Avec l’après-guerre, toutefois, les compositeurs ont déserté les pupitres. Depuis quelques années, le phénomène se renverse à nouveau…

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La forme et le sens

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Invité de ManiFeste lors de l’académie, le compositeur et chef d’orchestre George Benjamin évoque la question de la forme et de l’harmonie dans la composition. La pratique autant que la passion pour la transmission se lisent dans des propos qui éclairent le travail actuel du compositeur. Une leçon de maître.

Sunrise : A Song of Two Humans © Droits réservés/Collection Cinémathèque suisse

Le frémissement et la surprise

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À l’occasion de la projection de L’Aurore de Murnau, accompagnée d’une nouvelle musique composée par Helmut Oehring, rencontre avec le réalisateur et musicien Bertrand Bonello, qui avait collaboré avec l’Ircam en 2003 pour son film Tiresia. À partir de Murnau, Bonello pense l’image et le son, le cinéma et la musique.

Pierre Guyotat ©Léa Crespi

Les mots et la chose

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Dans cet entretien, l’écrivain Pierre Guyotat éclaire le processus d’écriture qui est le sien et qui est à l’oeuvre dans son dernier roman, Joyeux animaux de la misère (© Éditions Gallimard), dont des extraits seront lus et mis en scène par Stanislas Nordey pour l’ouverture de ManiFeste-2014.

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Relevé (provisoire) des transgressions de ManiFeste

tribune

Alors que ManiFeste touche à sa dernière semaine, la tentation est grande de jeter un regard rétrospectif sur tous les moments d’inconfort et d’excès que le festival n’a pas manqué d’offrir, en plus de ses belles réussites musicales.

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Le violoncelliste Arne Deforce au 104

tribune

Il est des concerts où la lecture du programme peut annoncer le pire comme le meilleur. […] Or le miracle de ce concert a été non seulement de proposer sept œuvres aux esthétiques très différentes mais d’offrir également un programme qu’on aurait envie de partager avec tous les curieux qui rêvent de découvrir un jour la musique d’aujourd’hui dans ce qu’elle a de meilleur.

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7 X 3 raisons d’aimer Quid sit musicus ?

tribune

Quid sit Musicus ? de Philippe Leroux était l’un des grands événements de ManiFeste. Sur près d’une heure, l’œuvre déploie, pour reprendre l’expression du compositeur, un somptueux « pinceau à trois brins » qui entrelace différents matériaux musicaux pour livrer une œuvre en 21 séquences d’une hétérogénéité et d’une cohérence inouïes. De quoi donner envie d’établir sept triples raisons pour expliquer la merveilleuse réussite de la pièce.

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Entretien avec David Christoffel

tribune

Hypothèse : la pensée est contenue dans le dire. La pensée est liée à la façon de parler, et la voix dégage de la pensée, conditionnée par des enjeux argumentatifs, même à l’échelle de la prononciation. Les tics de dire, de prosodie ou de langage sont des tics de pensée.

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Registre des Lumières de Raphaël Cendo à la Cité de la musique

tribune

Comme nous l’évoquions dans notre précédente tribune (d’ailleurs, n’hésitez pas à nous envoyer les vôtres ! ), ce début de ManiFeste privilégiait surtout les propositions interdisciplinaire entre la musique et les arts de la scène ou de l’image. Ce concert choral à la Cité de la Musique du SWR Vokalenensemble Stuttgart et de l’Ensemble musikFabrik allait-il nous ramener vers des territoires plus familiers à la musique contemporaine ?

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Un temps bis d’Aperghis au Théâtre de Gennevilliers

tribune

La première semaine de ManiFeste poursuivait son exploration des relations interdisciplinaires entre la musique et les autres arts. Après la littérature (Joyeux animaux de la misère), le cinéma (L’Aurore) et la vidéo (Fundamental Forces), le compositeur Georges Aperghis imaginait une rencontre exceptionnelle entre le répertoire contemporain pour alto solo et le théâtre de Beckett.